RIOBAMBA city

Publié le par Eric et Noëlle

Comme toujours le meilleur moyen de prendre connaissance d'une ville est de s'y balader.
RIOBAMBA fait la synthese d'une ville moderne et de celle d'un pays émergent.

Déja le plan en damier des villes andines surprend, toutes les rues se coupent à angle droit ce qui permet aux voitures de foncer sans se préoccuper des pietons.



















Des immeubles non terminés mais quand même habités jalonnent les rues, les petits métiers abondent il se vend de tout a la sauvette  : semelles, billets de loterie, socquettes et slips, couteaux, cordages, ferblanterie, il est impossible d'en faire l'inventaire complet à moins de s'appeler Prévert. De plus des étals en tout genre du photographe avec d'antiques appareils à plaques aux cireurs de chaussures  occupent tous les angles de rue.

Mais les cybercafes abondent et les équipements high tech surgissent un peu partout. (voir hopital ci-dessus)

Dans la même rue nous nous arrêtons dans une super et superbe patisserie qui affiche croissants et sacher torte que nous dégustons dans le patio, et quelques metres plus loin  un passage couvert nous conduit dans un hall où une douzaine de stands tenus par des matrones propose la spécialité locale : le cochon rôti pour un dollar à consommer sur un coin de table accompagné de mais, de riz et d'un jus de fruit mixé.





































Parmi les jus de fruits préférés des équatoriens celui du "tomate del arbol" qui orne le jardin de l'hotel.

Tous les matins vers 6H un colibri vient y butiner les fleurs sans que nous ayons encore pu saisir son vol stationnaire en photo.....












La ballade se poursuit avec ses surprises, dans un pays assez prude (catholiscisme oblige) les vitrines présentent , sans complexe, des manequins aux formes éclatantes.














Puis, nous grimpons sur un petit Montmartre agrémenté d'un jardin ce qui nous permet des vues panoramiques sur les toits de la ville et des montagnes environnantes.


































Sur le chemin de retour, nous entrons dans une boutique d'artisanat ou avec minutie,  un graveurdessine des motifs sur les féves de TAGUA qui - comme chacun le sait !!!!- est un ivoire végétal issu du fruit d'une sorte de palmier.
Nous faisons une petite folie, pour 1 dollar nous achetons une petite marasca.





















Publié dans Equateur - Ecuador

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